Une installation de froid solaire de grande échelle à Montpellier
Le système pourrait permettre de réduire les émissions de 40 tonnes par an en équivalent CO2.
Le système pourrait permettre de réduire les émissions de 40 tonnes par an en équivalent CO2.
Dans un communiqué de presse paru en 2013, la ville de Montpellier a présenté un nouveau projet de conditionnement d’air par froid solaire de « l’Arche Jacques Cœur » et de « l’Amiral », une résidence comprenant plus de 11 000 m² de bureaux, 3000 m² de commerces et 170 logements.
L’installation confiée à la SERM et d’un coût total de 415 000 €, pourrait réduire les émissions annuelles de 40 tonnes en équivalent CO2, ce qui correspondrait aux émissions de 25 voitures roulant 10 000 km.
Sa production frigorifique annuelle est de 20 MWh et celle d’eau chaude sanitaire annuelle est de 113 MWh couvrant ainsi 14% du refroidissement annuel et ne consommant pour cela que 8 MWh d’électricité.
Ce système de refroidissement, relié à un système existant de cogénération de chaleur et de froid utilise un système de froid à absorption de bromure de lithium à simple effet de 35 kW fournissant de l’eau glacée avec un COP théorique de 16.6.
La compression mécanique pour le cycle frigorifique a été remplacée par une compression thermochimique, combinant une augmentation simultanée de la température et de la pression.
La chaleur est fournie au système à absorption, grâce à 240 m² de capteurs solaires et la chaleur excédentaire produite au cours de l’opération est évacué par un système de refroidissement par ventilation. Le système refroidit alors une boucle existante avec un frigoporteur à base d'eau glycolée et équipé de ventilo-convecteurs à ses extrémités.
Dans un communiqué de presse paru en 2013, la ville de Montpellier a présenté un nouveau projet de conditionnement d’air par froid solaire de « l’Arche Jacques Cœur » et de « l’Amiral », une résidence comprenant plus de 11 000 m² de bureaux, 3000 m² de commerces et 170 logements.
L’installation confiée à la SERM et d’un coût total de 415 000 €, pourrait réduire les émissions annuelles de 40 tonnes en équivalent CO2, ce qui correspondrait aux émissions de 25 voitures roulant 10 000 km.
Sa production frigorifique annuelle est de 20 MWh et celle d’eau chaude sanitaire annuelle est de 113 MWh couvrant ainsi 14% du refroidissement annuel et ne consommant pour cela que 8 MWh d’électricité.
Ce système de refroidissement, relié à un système existant de cogénération de chaleur et de froid utilise un système de froid à absorption de bromure de lithium à simple effet de 35 kW fournissant de l’eau glacée avec un COP théorique de 16.6.
La compression mécanique pour le cycle frigorifique a été remplacée par une compression thermochimique, combinant une augmentation simultanée de la température et de la pression.
La chaleur est fournie au système à absorption, grâce à 240 m² de capteurs solaires et la chaleur excédentaire produite au cours de l’opération est évacué par un système de refroidissement par ventilation. Le système refroidit alors une boucle existante avec un frigoporteur à base d'eau glycolée et équipé de ventilo-convecteurs à ses extrémités.