Profils Facebook rafraîchis au vent polaire
Le refroidissement des serveurs qui traitent une grande partie des données que nous publions sur nos murs, est assuré par le vent polaire.
Si Facebook a choisi Luleå, ville située au nord de la Suède, pour installer son data center européen, c’est qu’il y fait très froid.
Le refroidissement des serveurs, qui traite une grande partie des données que nous publions sur nos murs, est assuré par le vent polaire.
Ce bâtiment d’une surface équivalent à dix-sept patinoires de hockey sur glace, rempli de dizaines de milliers de serveurs, se passe de groupe froid. Il est coiffé d’une batterie de ventilateurs qui se contentent, après avoir filtré et humidifié, d’acheminer l’air extérieur à l’intérieur du bâtiment. La température intérieure est ainsi maintenue entre 20 et 22 °C.
Source : Génie climatique magazine
Le refroidissement des serveurs, qui traite une grande partie des données que nous publions sur nos murs, est assuré par le vent polaire.
Ce bâtiment d’une surface équivalent à dix-sept patinoires de hockey sur glace, rempli de dizaines de milliers de serveurs, se passe de groupe froid. Il est coiffé d’une batterie de ventilateurs qui se contentent, après avoir filtré et humidifié, d’acheminer l’air extérieur à l’intérieur du bâtiment. La température intérieure est ainsi maintenue entre 20 et 22 °C.
Source : Génie climatique magazine