Projet de la Banque mondiale au Bengladesh

L'IIF vient de signer un accord avec la Banque mondiale pour développer une chaîne du froid aussi durable que possible au Bangladesh, en partenariat avec des universités britanniques et bangladaises. 

L'IIF vient de signer un accord avec la Banque mondiale pour développer une chaîne du froid aussi durable que possible au Bangladesh, en partenariat avec des universités britanniques et bangladaises.   

Le projet intitulé "Technical Assistance on Clean and Energy Efficient cooling solutions for Livestock Supply Chain" (assistance technique sur les solutions de refroidissement propres et efficaces sur le plan énergétique pour la chaîne d'approvisionnement du bétail) doit fournir les bases analytiques nécessaires au projet de développement de l'élevage et des produits laitiers (LDDP) au Bangladesh. Ce travail permettra d'évaluer les besoins de refroidissement dans les chaînes de valeur de la viande et des produits laitiers et de fournir des conseils sur les solutions de refroidissement techniquement et financièrement réalisables qui aideraient à promouvoir l'adoption de chaînes de froid efficaces et plus respectueuses du climat. Il contribuera également au développement d'un environnement favorable à l'adoption de solutions durables pour la chaîne du froid.   

Il aura pour objectif d’informer directement les acteurs du secteur de l'élevage (volaille, viande de grands ruminants, viande de petits ruminants et produits laitiers) au Bangladesh afin de promouvoir des systèmes de refroidissement propres et efficaces dans le cadre des investissements soutenus par le LDDP :   

  • entreprendre un diagnostic complet des besoins en systèmes ou éléments de chaîne du froid dans l'ensemble des chaînes de valeur de l'élevage,
  • identifier des solutions respectueuses du climat  

Ce travail permettra d'évaluer et de concevoir des options pour aider à éliminer les obstacles au déploiement de la chaîne du froid au Bangladesh, notamment l'accès limité à l'énergie dans les zones rurales, les infrastructures de transport médiocres et encombrées, le manque d'incitation à l'investissement du secteur privé, etc.   

  

Vous serez tenu informé de l'avancement de ce projet.