L'utilisation du CO2 comme frigorigène. 15e Note d'information sur les frigorigènes.

[In Russian. / En russe.]

Type d'article : Article

Résumé

Ce document est une traduction russe de la référence 2000-2403 du Bulletin de l'IIF. Le Protocole de Montréal, par les règles qu'il impose aux gaz susceptibles d'endommager la couche d'ozone, a conduit à l'arrêt de l'utilisation des chlorofluorocarbures (CFC) en tant que fluides frigorigènes dans les pays industrialisés. De la même manière, les hydrochlorofluorocarbures (HCFC) ne constituent qu'une solution provisoire, jusqu'en 2020 dans les pays industrialisés et certaines réglementations nationales imposent un arrêt plus précoce encore de leur utilisation (par exemple avant la fin de l'année 1999 pour le R22 en Allemagne). En matière d'environnement, il convient de prendre en compte une autre propriété de ces frigorigènes, à savoir l'effet de serre auquel ils contribuent. Ceci vaut également pour les hydrofluorocarbures (HFC), substituts aux CFC et HCFC récemment développés, qui ont de ce fait été placés dans un panier commun à 5 autres gaz à effet de serre par le Protocole de Kyoto. Cette situation entraîne une utilisation accrue de frigorigènes "anciens" tels que l'ammoniac et les hydrocarbures qui, bien que non nocifs pour l'environnement, peuvent présenter un certain degré de risque en raison de leur inflammabilité et/ou toxicité. De ce fait, le dioxyde de carbone (CO2), frigorigène utilisé autrefois dans le froid industriel et maritime, fut proposé en 1990 par le Professeur Gustav Lorentzen comme frigorigène de substitution, notamment parce qu'il est non inflammable.

Détails

  • Titre original : [In Russian. / En russe.]
  • Identifiant de la fiche : 2002-0610
  • Langues : Russe
  • Sujet : Environnement
  • Source : Kholodilnaya Tekhnika - n. 11
  • Date d'édition : 2000
  • Document disponible en consultation à la bibliothèque du siège de l'IIF uniquement.

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