Le traitement d'air pour les cabines de peinture.

Auteurs : HEYNDRICKX F.

Type d'article : Article

Résumé

Les cabines de peinture nécessitent de l'air traité, précisément régulé en température et hygrométrie, avec des débits d'air pour une seule cabine de carrosserie automobile dépassant les 400 000 à 500 000 m3 par heure. L'air à souffler est pris, soit à l'extérieur en tout air neuf demandant des puissances thermiques importantes, soit en recirculation avec des contraintes d'humidité et de concentrations en solvants, mais avec une bonne économie d'énergie. Les conditionneurs en double peau intègrent pour le chauffage un bruleur gaz en veine d'air ou une batterie d'eau chaude. Pour le froid, l'eau glacée domine, mais arrive la détente directe, permettant d'utiliser le condenseur pour le réchauffage. En humidification, la pulvérisation frontale basse pression est imposée à cause de sa faible maintenance et de sa précision. En recirculation, les ventilateurs sont très souvent de type roue libre avec moteur hors du flux d'air, alors que les double-ouïes, en France, dominent encore dans les groupes d'air neuf. La régulation intègre de très nombreuses fonctions de réglage et de sauvegarde des paramètres. Ce type de traitement d'air s'apparente à celui des salles blanches. La technologie et le savoir-faire allemand dominent en Europe.

Détails

  • Titre original : Le traitement d'air pour les cabines de peinture.
  • Identifiant de la fiche : 2008-1771
  • Langues : Français
  • Sujet : Technologie
  • Source : Revue générale du Froid & du Conditionnement d'air - n. 1080
  • Date d'édition : 01/2008

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