Nouvelles des membres de l'IIF : AFF
L’Association Française du Froid (AFF) vient de mettre en ligne une étude qui recense l’offre actuelle en formation aux fluides CO2, ammoniac et hydrocarbures et évalue les besoins.
L’Association française du froid (AFF) vient de mettre en ligne une
étude qui recense l’offre actuelle en formation aux fluides CO2,
ammoniac et hydrocarbure et évalue les besoins.
La nouvelle réglementation européenne « F-gaz », qui entrera en vigueur le 1er janvier 2015, prévoit une réduction progressive de l’utilisation de certains fluides, le développement de l’utilisation des fluides naturels que sont l’ammoniac, le CO2 et les hydrocarbures et une « information » des personnels à leur manipulation.
l’AFF fait un point dans sa nouvelle étude « Formation à la manipulation des fluides dits naturels » sur les besoins en formation et les moyens aujourd’hui disponibles susceptibles de garantir l’efficacité des programmes d’action qui pourraient être mis en place à l’occasion des nouveaux textes.
Cette étude dresse dans un premier temps une cartographie des formations actuellement disponibles pour les fluides naturels. Elle évalue ensuite les besoins en moyens de formation en fonction du nombre de personnels à former. Ainsi pour le CO2, l’AFF évalue leur nombre à 10 000 personnes (tous secteurs confondus) et estime que jusqu’ici seuls 300 ont reçu une formation. En parallèle, l’association fait des propositions de programmes sans éluder les investissements nécessaires à engager.
La nouvelle réglementation européenne « F-gaz », qui entrera en vigueur le 1er janvier 2015, prévoit une réduction progressive de l’utilisation de certains fluides, le développement de l’utilisation des fluides naturels que sont l’ammoniac, le CO2 et les hydrocarbures et une « information » des personnels à leur manipulation.
l’AFF fait un point dans sa nouvelle étude « Formation à la manipulation des fluides dits naturels » sur les besoins en formation et les moyens aujourd’hui disponibles susceptibles de garantir l’efficacité des programmes d’action qui pourraient être mis en place à l’occasion des nouveaux textes.
Cette étude dresse dans un premier temps une cartographie des formations actuellement disponibles pour les fluides naturels. Elle évalue ensuite les besoins en moyens de formation en fonction du nombre de personnels à former. Ainsi pour le CO2, l’AFF évalue leur nombre à 10 000 personnes (tous secteurs confondus) et estime que jusqu’ici seuls 300 ont reçu une formation. En parallèle, l’association fait des propositions de programmes sans éluder les investissements nécessaires à engager.