Partager

LA CRYOCONSERVATION TISSULAIRE NE SOUFFRE PAS D'A PEU PRES.

Auteurs : DEFRANCE J.

Type d'article : Article

Résumé

POUR PRATIQUER UNE CONGELATION ET UNE DECONGELATION CORRECTES DES CELLULES ET DES TISSUS, ON DOIT AVOIR RECOURS D'UNE PART A L'ADDITION DE CRYOPROTECTEURS (GLYCEROL, DMSO) A DES CONCENTRATIONS VARIABLES SELON LA NATURE DE CES TISSUS ET D'AUTRE PART EN REGLANT LES VITESSES DE REFROIDISSEMENT ET DE RECHAUFFEMENT. HABITUELLEMENT LE REFROIDISSEMENT JUSQU'A LA TEMPERATURE DE L'AZOTE LIQUIDE SE FAIT EN 2 ETAPES : REFROIDISSEMENT LENT JUSQU'AU PALIER DE CONGELATION (DONT LA TEMPERATURE VARIE EN FONCTION DU TISSU ET DU CRYOPROTECTEUR), PUIS REFROIDISSEMENT RAPIDE (EN UNE MINUTE) DU PALIER DE CONGELATION JUSQU'A 77 K (-196 DEG C). DANS LA PLUPART DES CAS, LE RECHAUFFEMENT DOIT ETRE RAPIDE. ACTUELLEMENT DES PROGRAMMATEURS ELECTRONIQUES DE CERTAINS APPAREILLAGES PERMETTENT UNE REGULATION PRECISE DES CONDITIONS DE CONGELATION EN FONCTION DU TISSU TRAITE. G.G.

Détails

  • Titre original : LA CRYOCONSERVATION TISSULAIRE NE SOUFFRE PAS D'A PEU PRES.
  • Identifiant de la fiche : 1983-2376
  • Langues : Français
  • Source : Quotid. Méd. - n. 2857
  • Date d'édition : 1983
  • Document disponible en consultation à la bibliothèque du siège de l'IIF uniquement.

Liens


Voir la source

Indexation