Conservation hypothermique des oocytes humains grâce à des protéines antigel provenant de poissons polaires.

Hypothermic preservation of human oocytes with antifreeze proteins from sub-polar fish.

Résumé

On a conservé des oocytes humains matures (n=29) à 4 deg C pendant 20 heures dans une solution tampon phosphatée et dans cette même solution à laquelle on a ajouté diverses concentrations de protéines antigel isolées chez la plie rouge ou la loquette d'Amérique. Les taux de fécondation et de première division embryonnaire ont augmenté suite à l'addition de 1 milligramme/millilitre de protéines antigel et diminué à partir de 10 milligramme/millilitre de protéines antigel. Ces résultats préliminaires sont logiques par rapport aux études précédentes sur des animaux et aux conclusions tirées selon lesquelles les protéines antigel stabilisent les membranes aux températures hypothermiques.

Détails

  • Titre original : Hypothermic preservation of human oocytes with antifreeze proteins from sub-polar fish.
  • Identifiant de la fiche : 1994-1254
  • Langues : Anglais
  • Source : Cryo-Letters - vol. 14 - n. 4
  • Date d'édition : 07/1993
  • Document disponible en consultation à la bibliothèque du siège de l'IIF uniquement.

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